On pourrait en faire des tonnes et rappeler tout le mal qu'on pense d'Hadopi. Non, on va juste se contenter d'une petite capture d'écran qui résume à elle seul pourquoi la loi Hadopi ne marchera pas ;-) […]
mercredi, septembre 16 2009
mercredi, septembre 16 2009
On pourrait en faire des tonnes et rappeler tout le mal qu'on pense d'Hadopi. Non, on va juste se contenter d'une petite capture d'écran qui résume à elle seul pourquoi la loi Hadopi ne marchera pas ;-) […]
mardi, septembre 1 2009
Ca vient parfois comme une envie de pisser, ou comme une réminiscence de l'époque où il fallait reprendre le chemin des écoliers : après plus de dix mois passés sans même ouvrir l'interface d'administration de son blog, on se sent pris d'une soudaine envie d'écrire un truc. N'importe quoi, mais quelque chose qui change de Google, Microsoft et l'iPhone. Un truc qu'on sortirait comme ça, gratuitement, juste pour se dire qu'on sait encore user ses ongles sur autre chose que les nouvelles technologies. Un petit truc qui finalement te donnera le sourire en ceci qu'il y a encore trois minutes, tu ne savais pas que tu allais parler et que rien ne t'oblige à le faire. Ce petit truc, ça sera Inglorious Basterds, le dernier Tarantino. Comme ça, gratuitement, par plaisir, tel Gérard Lambert.
Alors que la ville regorge de salles, je crois que je ne suis jamais moins allé au cinéma que depuis que je crèche à Paris. Ma dernière incursion dans les salles obscures, ça devait être pour Millenium, dont je garde un excellent souvenir, sans doute plus pour la compagnie que pour le film qui reste, sans surprise, en deçà du roman de Larsson. Et puis, par une chaude après-midi d'août, je me décide à profiter de la bienveillante clim du cinéma, redécouvrant pour l'occasion la merveilleuse salle 1 de l'UGC Normandie, histoire de voir ces glorieux bâtards dont on parle tant. Et comme à chaque fois avec Tarantino, il y a un petit quelque chose qui me chagrine, mais je ressors conquis.
Je vais partir du principe que tu as vu le film. Si ce n'est pas le cas, arrête-toi là : tu ne voudrais pas que mes divagations du soir te gâchent le plaisir.
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